2 commentaires:

Isabelle a dit…

Il est vrai que toujours il nous revient -même si nous sommes tentés d'en douter- de décider de lire les épreuves de la vie comme des défis pour se hisser plus haut ou voir plus profond, et de faire des contraintes des opportunités, afin de donner sens à ce qui se présente parfois contre notre gré.

Ce type de détermination nous entraîne résolument à ne pas succomber à nos déterminismes.

Il existe ainsi deux manières de comprendre l'expression "être déterminé" : l'une active, l'autre passive.

Je t'embrasse, Pascal, en te redisant merci !

Pascal (jos_ti) a dit…

Oui, c'est vrai que le flot de la réalité et des expériences ne permet pas, dans l'instant du "vécu pur et dur", de repérer cette dimension de défi que l'existence nous offre.
Voir dans les choses importantes de la vie une équation à résoudre apparaît comme une approche résolument mystique, ou pour le moins signe de réelle maturité.
Vivre sa vie comme un "travail sur le "mandala personnel" (Jung, comme tant d'autres, l'a bien compris et intégré dans sa recherche sur le chemin) met à notre disposition un travail "alchimique" sur la matière de tout ce qui nous a été donné à notre naissance. Une matière "vivante" appelée à se perfectionner pour accéder à plus de compréhension et de connaissances...
La notion de responsabilité personnelle s'impose alors comme une donnée centrale pour aborder les choses de la vie et cela n'enlève pas le libre-arbitre personnel, bien heureusement (!).

Adhérer à cette vision de l'existence, personnellement, m'apparaît ici aussi, comme un défi. Une voie qui n'est pas la plus simple ni la plus confortable mais qui promet tant de découvertes et de contentements !
Une voie qui "a du coeur", comme le dit si bien Don Juan...une voie qui développe la tolérance vers les 4 points cardinaux de notre équation personnelle.
Bises du coeur, chère amie !

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