" Donner un peu de joie à ses semblables,
c'est encore ce qu'on peut faire de mieux sur cette Terre "
Peter Rosegger




« Quelle est la différence (entre nous tous ?) La vérité vient de la Source unique.

Ne rencontre-t-on pas parmi les arbres des chênes, des frênes, des pins ?
Chaque espèce a son utilité et son rôle à jouer. [...]
N’en critiquez aucune,
mais montrez plutôt quel bon pin, frêne, chêne ou vigne vous êtes ! »

[edgar Cayce - Lecture 254-87]

A toi l'inconnu...



Sans nul doute que ton âme, plutôt que d'aller au Paradis, ira se nettoyer dans les sphères de Saturne.
L'autorité Divine au-dessus de nous ne permet pas tout !
Une erreur essentielle parmi quelques autres...
Tuer des enfants n'est pas permis lorsque l'on se dit engagé dans une voie spirituelle.
Les enfants sont notre part de merveilleux et n'appartiennent à aucune Nation...
Ils sont tout simplement les "Enfants de la Vie"
comme le dit si joliment Khalil Gibran...
Khalil Gibran ?
Une âme qui a séjourné sur la Terre pour partager avec nous tous
une part de merveilleux :
la communion avec le Divin qui seule
permet de se libérer,
au-delà des religions et des conceptions du monde créées par les êtres humains....

Je te le dis, le seul combat qui aurait valu d'être engagé,
c'est celui contre soi-même,
combat contre l'Ombre au fond de nous-même...
miroir de nos faiblesses les plus secrètes et les plus douloureuses.

Dans cette vie-là,
tu as tout simplement raté l'occasion de canaliser l'énergie
pour faire de ta vie une oeuvre d'Art...

Quel gâchis...
Quel gâchis !

Rien d'autre à dire.
Le reste est prière


silence












Merci à Henri-Pierre et à Bridget pour ce moment de relaxation





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Bridget Kyoto dispense des cours d'autodéfense antipub. Vous pouvez ignorer cette annonce dans 30 secondes.


Les cinq plus grands regrets des gens avant de mourir


En s'occupant pendant plusieurs années de patients dans les dernières semaines de leur vie, une infirmière australienne a recueilli leurs derniers mots, voeux et souhaits, rapporte The Guardian.
Dans son livre The top five regrets of the dying (les cinq plus grand regrets des mourants) paru à la fin de l'été 2011, Bronnie Ware s'intéresse plus particulièrement à la « clarté de vision que les gens atteignent à la fin de leur vie, et à la façon dont nous pourrions apprendre de cette sagesse ».
Elle explique que les réponses de ses patients sur leurs regrets ou des choses qu'ils auraient aimé faire de manière différente se recoupaient, sur « des thèmes communs qui revenaient constamment ».

Voici les cinq plus grands regrets des patients dont elle s'est occupée:


« J'aurais aimé avoir le courage de vivre comme je voulais, et pas de vivre la vie qu'on attendait de moi. » C'est, d'après Bronnie Ware , le regret le plus partagé.


«Quand les gens se rendent compte que leur vie est presque terminée et qu'ils la regardent avec clarté, c'est facile de voir le nombre de rêves qu'ils avaient et qu'ils n'ont pas réalisé.»

«Je regrette d'avoir travaillé si dur.»  Le regret des patients masculins de l'infirmière.
« Les femmes l'ont également dit, mais comme la plupart d'entre elles étaient d'une génération plus ancienne, la plupart de mes patientes n'avaient pas été celles qui soutenaient financièrement leur famille. »


«J'aurais voulu avoir le courage d'exprimer mes sentiments.»
«Je regrette de n'être pas resté en contact avec mes amis.»


Bronnie Ware assure que ses patients « ne se rendaient vraiment compte de l'avantage des amis de longue date que dans leurs dernières semaines, et il n'était pas toujours possible de les retrouver ».

«J'aurais aimé m'autoriser à être plus heureux.» Un regret «étonnamment partagé», d'après l'infirmière.


« La plupart ne réalisait qu'à la fin que le bonheur était un choix. »




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Et vous, quel est votre plus grand regret aujourd’hui, et lequel seriez prêt à réaliser
avant de mourir ?

Article original : http://www.un-monde-different.com/9/post/2012/03/les-cinq-plus-grands-regrets-des-gens-avant-de-mourir.html
merci à David pour le lien







Vision lumineuse et vision sombre (texte de Patrick Van Eersel)

Comme je l'ai déjà confié, j'aime l'esprit de la revue CLES (Nouvelles Clés). Une revue avec laquelle j'avais fait connaissance dans les années 80 et qui portaient de beaux articles sur notre monde et ses valeurs, mais aussi sur la diversité de la recherche spirituelle aux quatre coins de la planète.
Autant dire que cette revue a accompagné avec d'autres sources ma vision du monde, les valeurs qui me sont proches et avec lesquelles je me sens en affinité.
Une revue qui a su s'adapter et propose aujourd'hui un format et un "look" bien actuel qui saura séduire. En gardant une chose : aborder les thèmes de société sans omettre de traiter également les nourritures de l'âme. Et ça, j'aime ça !
Place ici à une petite réflexion de Patrice Van Eersel.
Grand reporter, sa curiosité inlassable le pousse sans cesse aux frontières de la connaissance. Écrivain, citons entres-autres "Réapprivoiser la mort" (éd. Albin Michel), qui poursuit l’enquête menée par "La Source noire" (éd. Grasset), "Tisseur de Paix" (éd. du Relié) et "J’ai mal à mes ancêtres", avec Catherine Maillard (éd. Clés / Albin Michel).



La vision lumineuse ? " Rien de nouveau sous le soleil ", ronchonnent les pessimistes, et pourtant : qui eût prédit la fin pacifique du communisme russe ? Et la dissolution de l’apartheid ? Les exemples abondent où l’inattendu du monde s’avère plus généreux que nos prévisions. Si j’applique cet état d’esprit à notre avenir, que vois-je ? Des synchronicités inouïes, des résonances à travers le temps et l’espace, révélant (peu à peu, comme dans le baquet du photographe) une humanité incroyablement riche, adolescente souvent, mais drôle, musicale, dansante, amoureuse, canaille aussi, bien sûr...






La vision sombre ? Le journalisme est un métier fantastique, et en même temps, comme il est pénible de constater quotidiennement à quel point nous sommes conformistes, superficiels, inconséquents... Et dire que l’avenir dépend des "grands communicateurs" !


C’est ainsi que je participe à la maladie du monde chaque fois que mes faiblesses me font céder à la pression aliénante de ce que Simone Weil appelait " la grosse bête ", l’instinct grégaire qui maintient la cohésion du troupeau mais freine l’éveil et peut rendre parano. À l’inverse, je participe, à ma mesure, à la santé du monde chaque fois qu’à la recherche d’un jaillissement d’énergie et d’inspiration, je rapporte aux miens un récit exemplaire de la beauté de l’humain et de la vie.

Mon rêve serait de voir le Maghreb se pacifier et devenir une vaste et nouvelle Andalousie, un jardin pluri-ethnique, artistique et spirituel. Cela changerait tout.


Lieu privilégié :
Les îles grecques, peut-être Lesbos, mais je n’y suis pas allé depuis longtemps...

Lieu magique :
quelque part sur une mer delphinienne, avec ma femme, mes quatre enfants, ma toujours jeune maman, et toutes les familles de mes cinq frères et soeur, qui vivent dispersés de par le monde, et que je n’ai plus vus réunis depuis bien des années... •


Livres :
Ceux d’Henri Miller, de Boulgakov et de Nikos Kasantsakis.


Films :
Barberousse de Kurosawa, Le Fleuve de Jean Renoir, Latchodrome de Toni Gatlif.


Musiques :
Les intégrales de Fela Anikulapo Kuti et de Mozart. Des musiques populaires marocaines.


Techniques :
L’exercice de l’algue (wakamé) enseignée par le shintaïdo, art gestuel dérivé du karaté.

Associations :
La Société des Gens de Gestes, qu’avec Albert Palma, Arthur H. et quelques autres nous animons à longueur d’année.

http://www.cles.com/dossiers-thematiques/cultures-du-monde/xxieme-siecle-les-visions-de-34/article/patrice-van-eersel






La flamme de la bougie oscille doucement dans le soir...
moment propice pour se reposer de tout et regarder vers le ciel.
Heureux ceux qui savent se ménager de ces petits moments précieux pour l'âme.



La flamme est toujours allumée et porte nos plus belles espérances










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