"Rien n'est en soi ni bon ni mauvais. Tout dépend de ce qu'on en pense" (Hamlet)

Un ami n'a pas le rôle n'est pas de porter les malheurs du monde, 
ni ceux des uns et des autres

mais participer à faire découvrir l'envergure de nos ailes.

L'ami nous offre des outils

afin que nous puissions développer nos richesses personnelles

et cette capacité d'autonomie qui s'appelle Liberté.

La première clé à pratiquer jusqu'à faire partie de nos manières de penser est la suivante dans les périodes de doute et d'incertitude :

"quelle est ma responsabilité personnelle dans ce qui m'arrive ?"

Progressivement, nous en venons à faire ce constat :

L'attitude des autres à notre égard trouve son origine dans notre propre manière d'aborder les relations. 

Trop souvent, nous "compressons le monde" et tentons de "vendre" aux autres notre image de la réalité.

Réalité qui ne sera toujours qu'une image construite par notre intellect. 
Mais qui en a réellement conscience ?

Une autre clé tourne autour du don et du partage.

Que je ne m'étonne pas de conséquences si dans les causes, je n'ai pas su partager en toute clarté et donner au mot "amitié" cette lueur  à nulle autre pareille et seule capable de nourrir le temps.

(Pascal Bertrand)

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Quelques références d'ouvrages pour poursuivre notre instruction personnelle... 

Sur la communication et les relations interpersonnelles :

 "La nouvelle communication" 

Ouvrage collectif/Bateson, Birdwhistell, Goffman, Hall, jackson, Scheflen, Sigman, Watzlawick  - Edition poche en Points Essais

(Ouvrage de synthèse, le premier à étudier) 

"Une logique de la communication"

P. Watzlawick, J. Helmick, Don D. Jackson - Edition poche chez Points Essais

"Changements" (paradoxes et psychothérapie)

P. Watzlawick, J Weakland, R. Fisch - disponible en Points Essais

"Le langage du changement" mêmes auteurs

Sur la construction de nos réalités individuelles et collectives :

"L'invention de la réalité" ouvrage sous la direction de Paul Watzlawick - Edition poche en Points Essais

"la réalité de la réalité" (confusion, désinformation, communication), Paul Watzlawick

Nous ignorons trop souvent que les études de chercheurs émérites participent à mieux nous faire comprendre "ce qui se passe" dans nos vies et dans nos relations.

Ils mettent à la disposition de notre volonté de comprendre les mystères qui règissent nos vies le résultat de leurs recherches.

L'école de Palo Alto, par exemple, est une association de chercheurs de tous horizons. Ils ont mis leurs connaissances en commun pour les croiser et élever notre compréhension à propos du fonctionnement des êtres humains. 

On y trouve des anthropologues, des sociologues, d'autres chercheurs issus de la psychanalyse, d'autres encore spécialistes de linguistique... 

Ce groupe trouve son origine dans les années 60/70 et nous a offert jusqu'à aujourd'hui une masse de connaissances très profitable pour ceux qui souhaitent approfondir le sens de la vie à travers la communication comme étude des comportements sociaux au quotidien. Et avoir des outils pour mieux repérer les causes de nos difficultés à communiquer.

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Guide pour bien organiser sa réflexion :

"Manuel de recherche en sciences sociales", 

Raymond Quivy, Luc Van Campenhoudt - Editions Dunod

Si cet ouvrage est la "bible" de tous ceux qui doivent mener une recherche en sciences sociales, il est précieux à plus d'un titre et peut intéresser toute personne soucieuse d'apprendre à bien mener sa réflexion sur quantité de sujets. 

Les auteurs nous invitent à partir d'une question de départ pour tout travail de recherche/réflexion. 

Un bel exercice de le pratiquer dans nos vies. 

En effet, les recettes partagées peuvent servir nos réflexions les plus importantes et permettre une "juste" réflexion... et en apprenant à mettre à leur place croyances personnelles, hypothèses, concepts, etc etc...bref ! A gagner en maturité !

Un bon livre de cuisine, en somme ! Incontournable, même !

Bonne(s) étude(s) !

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"Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, 

il l'est plus encore de remettre le connu en question"

(Kaspar)

 Souvent, nous créons un réel et oublions ensuite qu'il s'agit de notre création, 
pour le vivre comme entièrement indépendant de nous 
(en référence à Kant)